Day 24 – Saldus @ Zvera Festival (Lettonie)

Yep, ce soir on retourne au fameux ZVERA FESTIVAL! L’an dernier c’était carrément fou. Un festival DIY au milieu d’une forêt lettonienne ou 4 ou 5000 personnes se retrouvent chaque année pour faire la fête. Malheureusement je crois que, cette année aussi, la pluie sera de la partie ! On embarque Una et Eva avec nous et on tape la route après une bonne matinée à glander. On arrive à 17h au Zvera, il pleut, il y a de la boue de partout, mais plein de gens qui se foutent éperdument du temps humide et de la saleté de leur vêtements. On pousse le camion qui s’embourbe 3 ou 4 fois avant d’arriver à la place qui va bien.

Des gens débarquent pour nous faire boire à leurs bouteilles étranges. C’est le début de soirée et tous semblent déjà bien saouls. On se rend compte aussi que le terrain en contre bas du festival, qui sert de terrain sport (football, voleyball, dirt de bmx, skatepark) et aussi scène électro est complètement inondé… Facile 40 cm d’eau avec un courant assez fort ! C’est juste fou ! (le niveau d’eau montera d’ailleurs pendant la soirée…).

Nichiel’s ne jouent pas ce soir, day off ! Par contre The Traders jouent… Et à 2h30 du matin… Ce n’est pas vraiment une bonne nouvelle ! On retrouve les copains de PO Box et Nina’school, puis les No Guts No Glory ! C’est soirée copains français ! On traine et on regarde les groupes à droite à gauche. Patoch installera un bout de stand improvisé qui, comparé à l’an dernier, ne marchera pas vraiment.

Mickael discute avec toutes les personnes qu’il croise. Il en perdra d’ailleurs sa voix le lendemain ! Una qui, ayant profitée un peu violement de la soirée, nous gratifiera d’un vomi dans le camion… Parfait.

Le temps pour Traders de jouer arrive. On s’installe en vitesse et on envoie. Les gens sont boueux, bien bourrés, et un peu dispersés mais l’ambiance est très bonne. Les Traders découvrent un peu l’ambiance de l’Est. Pas mal de pains ce soir.

On fini la soirée un peu tous de partout, à discuter avec tout le monde. Dodo dans le camion pour certains et dans les tentes pour d’autres. (On apprendra deux jours plus tard que deux festivaliers se sont noyés emportés dans le courant, aïe…).